Death note résurrection
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 - Hyo Snow -

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Hyo
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MessageSujet: - Hyo Snow -   - Hyo Snow - Icon_minitimeSam 16 Aoû - 15:52

Nom : Snow ( Snow n'est pas son vrai nom...)

Prénom: Hyo

Age : 19 ans

Sexe : Masculin

Genre : Kira

Rang : Maître



Physique : Je suis grand, à peu près un mètre quatre-vingt, et plutôt maigre... J'ai des cheveux noirs que je porte plutôt courts, mais coiffés souvent en pics. Mon visage dispose de traits passe partout, et j'arbore souvent une attitude distante, voire sombre , peu amicale qui transforme mon faciès. Je suis souvent vêtu de grandes vestes de couleur pouvant varier, et de jeans plutôt sombres. Je ne suis pas exceptionnellement musclé. Ma peau est plutôt de couleur blafarde, quoi qu'elle puisse varier en fonction de mon attitude.

Caractère : Je suis un jeune homme très patient, je laisse les gens prendre le temps de parler. Toutefois, je n'aime pas être interompu, et peux perdre mon calme rapidement. La plupart du temps, je suis d'humeur mitigée, pouvant changer très rapidement, et passer d'un état sombre à un état de joie intense. Je n'hésite pas à essayer de lier connaissance, mais je peux me montrer distant si la personne n'est pas sympathique,...


-Histoire-


Cette pluie... Encore cette pluie qui comme toujours, coulant le long de mon visage anguleux, me ravit. Elle me détend. Me calme et me fait goûter à la tranquillité. Depuis plusieurs jours déjà, j'erre. Malgré cela, je n'ai aucune envie de retourner en ville. L'air frais de cette campagne me détend, et désire me faire oublier... Mais me faire oublier quoi? La mort mystérieuse de nombreuses personnes depuis peu, ainsi que de proches? Ou ma propre rancune? Mes yeux se ferment quelques minutes, et me ramènent là où j'ai passé la plus grande partie de ma vie....
Les champs sont verts, et la montagne domine tout, plongeant dans la mer, tout en laissant assez de place à l'homme pour survivre. Dans ma petite ville de quelques milliers d'habitants, la vie n'est pas très palpitante. Je passais mon temps libre à essayer de pêcher dans la grande rivière qui traversait ma ville. Ma ville. J'avais pris la désagréable habitude de l'appeler par le possessif. Elle ne m'appartenait pas à moi plus qu'à un autre. Mais c'était tout de même ma ville. Avec ses toits fabuleux qui brillaient lors des couchers de soleil que j'observais enfant, lorsque je montais sur les toits....
La porte claqua derrière moi avec fracas. Encore une fois, mes parents s'étaient disputés, hurlant leur haine viscérale à cors et à cris. Effrayant mon petit frère, faisant fuir le chat, gênant les voisins. Je me contentais de rester absorbé dans mes études. Je n'avais que 10 ans. Et depuis 10 ans, nous vivions dans cette ville, et je supportais les cris de mes parents. Depuis deux ans, je n'étais plus le seul à les supporter. Mon petit frère...Mais le champ de bataille n'était toujours pas déserté... Je me débrouillais le plus possible pour m'en tenir éloigné. De toutes façons, je passais la plupart de mon temps en cours, et le reste à pêcher, ou me promener. Un lien privilégié avec mon entourage? Je ne m'étais jamais posé la question. Et je n'avais rien de charismatique. Enfin , caractériellement parlant. Physiquement parlant, je n'avais rien de particulier. Je me fondais dans la masse, et vivais ma vie le plus loin possible du domicile famillial...
J'ouvre à nouveau les yeux, et suis de retour sous la pluie. J'étends ma main devant moi. Cinq petits tatouages partent du dos de ma main, et ensserrent chacun un doigt, comme des petits serpents dépourvus d'intelligence propre. La pluie les fait ressortir, ainsi que mes veines... Je m'adosse à un arbre. Ma veste mouillée me colle au corps, mais je n'en ai cure. Mes yeux sombres avalent la nuit autour de moi, et se délectent de la solitude. Des images. Je dois utiliser plus d'images pour parler. Etre plus distant. En fait, atteindre un niveau de bizzarerie qui aurait pour conséquence un attachement pour certains, un rejet pour d'autres. Abandonnant mes pensées, je me laisse aller contre le tronc rugeux. La pluie ne cesse de couler. Mes cheveux désormais s'accrochent à mon visage... Mes yeux se ferment à nouveau, et un nouveau pan de ma vie s'offre à nouveau à moi du plus profond de mes soupirs, ponctué par une légère toux...

*Je vais attraper la mort...*

La maison a changé d'apparence. Nous avions déménagé après mon treizième anniversaire, et avions acheté un appartement spacieux à Tokyo. Le nouveau travail de mon père nous avait permis de déménager. Il avait reçu un ordre de mutation. Et une promotion, comme un paquet cadeau. Dans le grand appartement, j'étais seul. Comme la plupart du temps, maintenant que mes parents s'étaient séparés, et que mon frère vivait avec ma mère. Mon père, quand à lui, passait sa vie au travail. Je l'entendais souvent dire:

-Le travail, c'est ta vie!

Je savais qu'il avait raison. Mais cela ne m'empêchait pas de lui en vouloir pour son absence prolongée. Je travaillais toujours autant en classe. Et je ne connaissais pas grand monde. En effet, j'étais dans une petite école en plein Tokyo, peu connue... Et je ne pouvais plus pêcher dans ma rivière. Je ne pouvais presque plus rien faire à part étudier. Etudier pour réussir, comme me l'avait dit mon père. Deux ans de suite nous vivâmes dans cet appartement spacieux, et isolé... Je me rappelle d'un matin... Ce matin était spécial. C'était celui de mon quinzième anniversaire. Heureux d'avoir cet âge qui faisait souvent rêver, je m'étais levé de bon matin. Nous étions samedi. Et j'étais seul. Sur la table en teck de la cuisine trônait une petite carte blanche, comme une carte perdue qui serait tombée d'on ne sait où, mais dont cette table n'aurait pas été la destination. Je jetai un oeil sur elle et apperçus une inscription.

Joyeux anniversaire. Je t'aime.


Rien de plus. A côté, un paquet longiligne. Encore un cadeau en rapport avec les études, probablement... Je l'ouvris d'un geste désespéré. A l'intérieur, je trouvai un livre. Un grand livre de qualité, donnant plusieurs indications pour dessiner et peindre.

-Hein!?

Ce cadeau , de la part de mon père, m'avait surpris. Il avait dû profondément changer depuis quelques temps... Je l'appelai brièvement à l'aide du téléphone de la maison pour le remercier, puis reposai le combiné... Depuis ce jour, je m'adonnai à cet art, le dessin, qui absorba toute mon énergie supplémentaire. Toute cette énergie qui ne me servait pas dans mes études... Les années restantes avant la faculté se déroulèrent dans le plus grand calme. Aucune nouvelle de ma mère, comme toujours. La vie se passait calmement. Celle d'un adolescent parfaitement normal. En cours, tout se passait bien. Quand au dessin, mes progrès étaient plutôt encourageants. J'avais décidé de prendre des cours. Ils m'accompagnaient pendant ces années difficiles qu'étaient celles du lycée...
Je rouvris les yeux. Une troisième fois déjà. Je tournai la tête. La solitude n'est pas complète, mais cela, je me le cache à moi-même. Je lève la tête. La pluie a cessé. Cependant tout est encore noir. Il est tôt. Enfin tard. Bref. Tout est noir, et je suis seul. Presque...
J'avais commencé mes études. Je m'étais orienté vers les arts. Un espèce de sacrifice à l'égard de mon père. Enfin, un sacrifice plutôt plaisant. Mon talent s'affinant, je savais que je pouvais parvenir à obtenir quelque chose en suivant cette voie. Bientôt, ce serait le début des cours. Bientôt, j'allais démontrer mon talent. Mais avant cela, mon père avait décidé de m'offrir un voyage, et nous étions partis tous les deux dans la propriété familliale que mon père avait pu racheter à force d'économiser. Il s'était privé de tout pour pouvoir obtenir cette maison. Elle était spacieuse, et disposait d'une cour intérieure. Elle était située dans un petit village que bordait une forêt imposante, et, paraît-il, hantée... Mon père n'aimait outre son travail que la marche, et durant ce séjour, nous devions faire de nombreuses randonnées. Il avait tout planifié. Voilà deux jours que nous étions arrivés. Le temps que nous ne passions pas à marcher, il travaillait. Même en vacances, il travaillait... Un soir, je le surpris dans son bureau, en train d'écrire sur un petit cahier de couverture noire et usagée... M'appercevant, il me fit signe de reculer.

-Tu ne parles toujours pas?

Mon père n'avait jamais été un grand émotif. Mais cette fois-çi, ses traits étaient creusés. Il avait l'air fatigué.

-Ta mère est morte.

Finalement si. Il avait parlé... Pour m'annoncer cela. La nouvelle ne me choqua pas outre-mesure. A vrai dire, je m'y attendais. Mon père avait des ennemis. Cette promotion n'avait pas été anodine... Je le savais et lui aussi. Il ferma les yeux un instant, avant de me présenter un petit coffret en bois. Il y rangea le cahier, et m'adressa la parole, pour une fois que je pressentais être la dernière:

-Emporte ça avec toi. Ramène le chez nous. Et ouvre le, lis les documents. A plus tard.

Avant que j'aie eu le temps de répondre, il me claqua la porte au nez.
J'ouvre une toute dernière fois les yeux. Cette fois, il fait noir dans ma tête. Je me rappelle du contenu de ce coffret, parfaitement. Une enveloppe. Deux enveloppes. Et ce cahier noir. Et je sais. Que mon père est mort. Mais il n'est pas mort en vain. Je me souviens de sa lettre, mot pour mot...

« Mon fils.
Si tu lis cette lettre, c'est que je te l'ai donnée de mon plein gré, sachant que tout était fini. J'ai des ennemis. Beaucoup d'ennemis. Et j'ai dû me battre pour ta survie. Pour la mienne aussi, mais cela est secondaire. Dans ce coffret, tu trouveras plusieurs choses. Tout d'abord, des informations compromettantes sur mes ennemis. De plus tu y trouveras le mode d'emploi de ce cahier noir que je t'ai si longtemps caché. Ne sois pas effrayé, et tentes de garder toute ta raison, car seul un homme équilibré saurait le dominer. »


La suite s'est malheureusement perdue dans les méandres du temps... Néanmoins, je me souviens de la dernière phrase, tracée au pied de la lettre comme une bouteille à la mer, comme une épitaphe. Un dernier message funèbre de mon père, que je vais mettre en oeuvre. Je me lève,m'éloigne de la tombe de mon père, que j'ai creusée de mes propres mains, et me dirige à nouveau vers la maison. Demain, je rentrerai à Tokyo.
Cette phrase était:

« Venge moi, mon fils. »


___________________________________________




Signes particuliers: Il n'a pas de signes particuliers marquants, à part qu'il porte parfois des lunettes de soleil épaisses, et qu'il arbore à la main gauche un étrange tatouage qui relie chaque doigt de sa main...
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